RSE
La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) intègre de multiples aspects du développement durable. Patrick Godart, Directeur général, détaille les mesures prises en la matière par de l’ETA d’Enghien.
Comment la RSE se traduit-elle au sein de votre entreprise ?
Par de multiples engagements qui, pris depuis bien longtemps, connaissent une accélération accrue depuis quelques années. La question n’est plus de savoir quelle est la place de la durabilité au sein de nos activités industrielles mais bien de savoir comment la mettre en œuvre au plus vite.
Notre crédo est de laisser le monde dans le meilleur état possible pour les générations à venir, avec le moins d’empreinte possible. C’est la raison pour laquelle nous consentons des investissements conséquents en matière de production d’énergie : panneaux photovoltaïques, éolienne, etc.
Avec quel impact ?
Nous disposons de 200 panneaux photovoltaïques sur les toits de l’ETA d’Enghien. La question n’est plus de savoir quelle est la place de la durabilité au sein de nos activités industrielles mais bien de savoir comment la mettre en œuvre au plus vite.
Consentez-vous des efforts similaires en matière de consommation d’énergie ?
Oui, des investissements industriels liés à notre process visent à réduire notre consommation d’énergie. C’est notamment le cas avec une nouvelle ligne de production qui permet une économie d’énergie de quelque 20 %. De manière générale, nous veillions à ce que chaque machine dispose d’un moteur à haute efficience énergétique et soit équipée d’un compteur électrique.
Des mesures ont-elles été prises pour préserver l’environnement ?
Globalement, la RSE est liée à trois valeurs essentielles que nous défendons : la qualité, le respect et la durabilité. La qualité constitue à la fois notre valeur première et un objectif que nous tentons d’atteindre en permanence. Le respect, lui, touche à notre façon de travailler : nous avons la volonté d’être fidèles et corrects tant avec nos travailleurs qu’avec nos fournisseurs et nos clients.
Comment cela se concrétise-t-il ?
Si, par exemple, nous avons sur la table des options industrielles qui permettent d’utiliser moins de personnel, nous ne les étudions pas en priorité. Dans le même temps, nous prônons un bon équilibre entre vies professionnelle et privée, par exemple en nous interdisant le travail de nuit et de week-end.